Une lecture attentive des,vingt fiches de ce document permettra de se rendre compte que les actions de RACINE en faveur de la protection des espaces boisés (classés et déclassés par l’actuelle municipalité en vue de bétonner) du Coeur Volant de Louveciennes et des vergers des Rougemeonts sont en pleine harmonie avec ces recommandations de l’ ADEME !

Voici ci-dessous un extrait d’une de ces fiches :
■■On recrée des espaces verts, on associe les
habitants au choix des projets et à la gestion
des espaces.
■■Toits, murs, trottoirs, places, cours d’école…
On plante !
■■On boise les rues, en favorisant les essences
locales et non allergisantes.
■■On agrandit la surface de la nature, avec
des jardins partagés, des plans d’eau, des tapis
de plantes grasses, des prairies végétales ou des
potagers sur les toits des bâtiments, des plantes
grimpantes ou comestibles sur les façades des
immeubles.
■■On entretient les espaces verts avec des
méthodes plus respectueuses de l’environnement
pour préserver la biodiversité – fauchage
tardif, taille douce des arbres, récupération de
l’eau de pluie pour l’arrosage, etc.
■■On s’engage dans la démarche « Terre saine »
en passant au « Zéro phyto », soit l’arrêt total des
pesticides, fongicides et engrais chimiques,
dans les cimetières, terrains de sport, espaces
verts, parcs…
■■On donne aux citoyens un « permis de
végétaliser » l’espace public, pour semer des
roses trémières au pied des arbres, remplir
d’herbes aromatiques des pots dispersés sur
les trottoirs…
■■On stoppe la progression du béton, en inscrivant
le principe d’un arrêt de l’artificialisation des
espaces naturels dans le Plan local d’urbanisme
et/ou le Plan local d’urbanisme intercommunal.
■■On installe des ruches, les abeilles participant
à la pollinisation de 80 % des plantes à fleur.
20 000 ha
d’espaces naturels artificialisés chaque année en France,
pour construire des logements, des routes, des bâtiments, etc.
(France Stratégie, 2019) chiffres
clés